marmora H

marmor, oris, n. (μάρμαρος), I) der Marmor, Marmorstein, A) eig., Cic. u.a.: Parium, Quint.: Numidicum, Plin.: Plur. marmora, Marmorarten, Sen. u. Plin., u. Marmorblöcke, Plin., Quint. u.a.: marmorum lapicidinae, Marmorbrüche, Plin.: secanda marmora locare, die Mormorbrüche, Hor. – B) meton.: 1) das aus Marmor Bereitete: a) das Marmormehl, d.i. klar geriebener Marmor, Cato u.a. – b) ein marmorner Meilenstein, Mart. 7, 31. – c) marmora, Marmorwerke, Denkmäler aus Marmor, Hor., Sen. u.a.: Marmorgebäude, Mart.: Marmorfußböden, Mart. – d) ein Marmorbild, Ov. met. 5, 234; 12, 487: duo marmora, ibid. 7, 790: u. Plur. v. einem Bilde, lacrimas marmora manant, ibid.6, 312. – 2) poet., die glänzende Meeresfläche, marmor infidum, Verg.: marmora pelagi, Catull. – II) übtr.: 1) Stein übh., Ov. met. 5, 214; 11, 404: flumen inducit marmora (Steinkrusten) rebus, Ov. met. 15, 314. – 2) eine Verhärtung an den Gelenken der Pferde, Sing. u. Plur., Veget. mul. 3, 48. § 1. § 9 u. 10. – / Abl. Sing. auch marmori, Corp. inscr. Lat. 1, 1012. – Nbf. marmur, Plur. marmura, nach Anton. Gnipho bei Quint. 1, 6, 23. Vgl. marmusculum. – spätlat. als masc., Plin. Val. 3, 14. – Über die verschiedenen Bedeutungen des Plur. s. Neue-Wagener Formenl.³ 1, 620.

I. II. A. B. 1. 2. 3. C. D. E. F. G.

I. II. A. B. 1. 2. 3. C. D. E. F. G.

    marmor oris, n, μάρμαροσ, marble, a block of marble: mensae e marmore: Parium, H.: templum de marmore ponam, V.: nomen in marmore lectum, gravestone, O.: Marmoribus rivi properant, on the marble floor, Iu.: sub eodem marmore, slab (of a table), Iu.—A piece of wrought marble, marble monument, statue: incisa notis marmora publicis, H.: voltus in marmore supplex, O.: lacrimas marmora manant (of one statue), O.—A stone: marmor erant (corpora), O.: flumen inducit marmora rebus, incrusts, O.—The shining surface of the sea, sea, ocean: lento luctantur marmore tonsae, V.: marmora pelagi, Ct.

caedo, ĕre, cĕcīdi, caesum - tr. - [st2]1 [-] couper, tailler, abattre, fendre; graver, sculpter. [st2]2 [-] frapper, battre. [st2]3 [-] tuer, tailler en pièces, massacrer; immoler, sacrifier.    - caedere virgis: battre à coups de verge.    - silvas caedere: faire l'abattage des bois, abattre des forêts.    - murum caedere: saper un mur.    - silicem caedere: fendre une pierre.    - caedere montes in marmora, Plin.: creuser les montagnes pour en retirer le marbre.    - caedere carmina in marmore, Ov.: graver des vers dans le marbre.    - vineta caedere sua, Hor.: abattre ses propres vignes, jeter des pierres dans son jardin.    - caedere sermones, Ter.: converser, tailler des bavettes.    - caedere stimulos pugnis, Plaut.: frapper l'aiguillon à coups de poing (aggraver son mal en résistant).    - caedere hircum Baccho, Virg.: immoler un bouc à Bacchus. caedo, ĕre, cĕcīdi, caesum - tr. - [st2]1 [-] couper, tailler, abattre, fendre; graver, sculpter. [st2]2 [-] frapper, battre. [st2]3 [-] tuer, tailler en pièces, massacrer; immoler, sacrifier.    - caedere virgis: battre à coups de verge.    - silvas caedere: faire l'abattage des bois, abattre des forêts.    - murum caedere: saper un mur.    - silicem caedere: fendre une pierre.    - caedere montes in marmora, Plin.: creuser les montagnes pour en retirer le marbre.    - caedere carmina in marmore, Ov.: graver des vers dans le marbre.    - vineta caedere sua, Hor.: abattre ses propres vignes, jeter des pierres dans son jardin.    - caedere sermones, Ter.: converser, tailler des bavettes.    - caedere stimulos pugnis, Plaut.: frapper l'aiguillon à coups de poing (aggraver son mal en résistant).    - caedere hircum Baccho, Virg.: immoler un bouc à Bacchus.

lŏco, āre, āvi, ātum - tr. -    - subj. arch. locassim, Plaut. Aul. 226; locassint, Cic. Leg. 3, 11. [st1]1 [-] placer, établir, poser, mettre, disposer; marier (une fille).    - castra locare: installer le camp.    - locare hominem in insidiis, Cic.: placer qqn en embuscade.    - locare insidias, Phaedr.: dresser une embuscade.    - duae sunt artes quae possunt locare homines in amplissimo gradu dignitatis, Cic. Mur. 14: il y a deux professions qui peuvent élever un citoyen au faîte des honneurs.    - vos hortor ut ita virtutem locetis ut... Cic.: je vous engage à donner à la vertu une telle place que...    - prudentia est locata in delectu bonorum et malorum, Cic.: la prudence consiste à distinguer le bien du mal.    - filiam locare in matrimonio alicui: marier une fille à qqn, donner une fille en mariage à qqn.    - filiam locare nuptum alicui: marier une fille à qqn.    - filiam locare nuptiis alicui: marier une fille à qqn.    - filiam alicui locare: marier une fille à qqn. [st1]2 [-] louer, donner à loyer, affermer, donner à ferme.    - locare aliquid alicui: affermer qqch. à qqn., louer qqch. à qqn.    - locare agrum frumento: affermer un champ moyennant une redevance en blé.    - vectigalia locare: affermer la perception des impôts.    - locare se (locare operam suam): se louer, louer ses services.    - locare operam suam ad aliquam rem, Plaut. Trin.: louer ses services pour qqch.    - locare vocem, Juv.: s'engager comme acteur.    - non nummo sed partibus locare, Plin. Ep. 9, 37: affermer non en argent mais pour une partie des revenus.    - quae ex empto aut vendito aut conducto aut locato contra fidem fiunt, Cic. Nat. 3: (jugements) rendus dans des questions d'achat, de vente, de ferme ou de loyer pour abus de confiance. [st1]3 [-] prêter, placer (de l'argent).    - locare argenti nemini nummum queo, Plaut. Most.: je n'ai pas le moyen de prêter un écu vaillant à qui que ce soit.    - locare beneficia apud gratos, Liv.: placer des bienfaits dans des coeurs reconnaissants.    - locare nomen, Phaedr.: engager sa signature, répondre pour. [st1]4 [-] mettre en adjudication, adjuger.    - locare templum exstruendum: mettre en adjudication la construction d’un temple.    - cibaria anserum locare, Plin. 10: mettre en adjudication la nourriture des oies.    - locare statuam faciendam, Cic.: donner une statue à faire.    - locare marmora secanda, Hor.: donner des marbres à scier. lŏco, āre, āvi, ātum - tr. -    - subj. arch. locassim, Plaut. Aul. 226; locassint, Cic. Leg. 3, 11. [st1]1 [-] placer, établir, poser, mettre, disposer; marier (une fille).    - castra locare: installer le camp.    - locare hominem in insidiis, Cic.: placer qqn en embuscade.    - locare insidias, Phaedr.: dresser une embuscade.    - duae sunt artes quae possunt locare homines in amplissimo gradu dignitatis, Cic. Mur. 14: il y a deux professions qui peuvent élever un citoyen au faîte des honneurs.    - vos hortor ut ita virtutem locetis ut... Cic.: je vous engage à donner à la vertu une telle place que...    - prudentia est locata in delectu bonorum et malorum, Cic.: la prudence consiste à distinguer le bien du mal.    - filiam locare in matrimonio alicui: marier une fille à qqn, donner une fille en mariage à qqn.    - filiam locare nuptum alicui: marier une fille à qqn.    - filiam locare nuptiis alicui: marier une fille à qqn.    - filiam alicui locare: marier une fille à qqn. [st1]2 [-] louer, donner à loyer, affermer, donner à ferme.    - locare aliquid alicui: affermer qqch. à qqn., louer qqch. à qqn.    - locare agrum frumento: affermer un champ moyennant une redevance en blé.    - vectigalia locare: affermer la perception des impôts.    - locare se (locare operam suam): se louer, louer ses services.    - locare operam suam ad aliquam rem, Plaut. Trin.: louer ses services pour qqch.    - locare vocem, Juv.: s'engager comme acteur.    - non nummo sed partibus locare, Plin. Ep. 9, 37: affermer non en argent mais pour une partie des revenus.    - quae ex empto aut vendito aut conducto aut locato contra fidem fiunt, Cic. Nat. 3: (jugements) rendus dans des questions d'achat, de vente, de ferme ou de loyer pour abus de confiance. [st1]3 [-] prêter, placer (de l'argent).    - locare argenti nemini nummum queo, Plaut. Most.: je n'ai pas le moyen de prêter un écu vaillant à qui que ce soit.    - locare beneficia apud gratos, Liv.: placer des bienfaits dans des coeurs reconnaissants.    - locare nomen, Phaedr.: engager sa signature, répondre pour. [st1]4 [-] mettre en adjudication, adjuger.    - locare templum exstruendum: mettre en adjudication la construction d’un temple.    - cibaria anserum locare, Plin. 10: mettre en adjudication la nourriture des oies.    - locare statuam faciendam, Cic.: donner une statue à faire.    - locare marmora secanda, Hor.: donner des marbres à scier.

māno, āre, āvi, ātum - intr. - [st1]1 [-] couler, ruisseler, dégoutter.    - tepidae manant ex arbore guttae, Ov. M. 10.500: des gouttes tièdes coulent de l'arbre.    - manat ex omni corpore sudor, Enn.: la sueur coule sur tout son corps.    - Herculis simulacrum multo sudore manavit, Cic. Div. 1: la statue d'Hercule fut toute ruisselante de sueur. [st1]2 [-] se répandre, se propager, circuler, émaner.    - manat tota urbe rumor, Liv. 2.49: la nouvelle se répand dans toute la ville.    - aër, qui per maria manat, Cic.: l'air qui circule sur la mer.    - nec varii cessant sonitus manare per auras, Lucr. 6: et des bruits variés ne cessent de se répandre dans les airs.    - manavit non solum per Italiam, verum etiam transcendit Alpes, Cic. Cat. 4: (ce mal) se propagea en Italie et franchit même les Alpes.    - fidei nomen manat longius, Cic.: le mot fides a un sens plus étendu. [st1]3 [-] naître de, sortir de, provenir de; s'échapper de, être oublié.    - multa a luna manant, Cic.: la lune a beaucoup d'influence (sur les corps).    - manantia, n. plur. (= τὰ ῥεύματα), Plin.: suintement (des plaies).    - peccata ex vitiis manant, Cic.: les fautes naissent des vices.    - a quo haec omnis, quae est de vita et de moribus, philosophia manavit, Cic. Tusc. 3: (Socrate) de qui provient toute cette philosophie relative à la conduite et aux moeurs.    - omne supervacuum pleno de pectore manat, Hor. A. P. 337: tout le superflu s'échappe entièrement de l'esprit. - tr. - [st1]4 [-] faire couler, distiller, verser.    - manare poetica mella, Hor. Ep. 1, 19, 44: distiller le miel de la poésie (être poète).    - lacrimas marmora manant, Ov. M. 6.312: le marbre verse des larmes. māno, āre, āvi, ātum - intr. - [st1]1 [-] couler, ruisseler, dégoutter.    - tepidae manant ex arbore guttae, Ov. M. 10.500: des gouttes tièdes coulent de l'arbre.    - manat ex omni corpore sudor, Enn.: la sueur coule sur tout son corps.    - Herculis simulacrum multo sudore manavit, Cic. Div. 1: la statue d'Hercule fut toute ruisselante de sueur. [st1]2 [-] se répandre, se propager, circuler, émaner.    - manat tota urbe rumor, Liv. 2.49: la nouvelle se répand dans toute la ville.    - aër, qui per maria manat, Cic.: l'air qui circule sur la mer.    - nec varii cessant sonitus manare per auras, Lucr. 6: et des bruits variés ne cessent de se répandre dans les airs.    - manavit non solum per Italiam, verum etiam transcendit Alpes, Cic. Cat. 4: (ce mal) se propagea en Italie et franchit même les Alpes.    - fidei nomen manat longius, Cic.: le mot fides a un sens plus étendu. [st1]3 [-] naître de, sortir de, provenir de; s'échapper de, être oublié.    - multa a luna manant, Cic.: la lune a beaucoup d'influence (sur les corps).    - manantia, n. plur. (= τὰ ῥεύματα), Plin.: suintement (des plaies).    - peccata ex vitiis manant, Cic.: les fautes naissent des vices.    - a quo haec omnis, quae est de vita et de moribus, philosophia manavit, Cic. Tusc. 3: (Socrate) de qui provient toute cette philosophie relative à la conduite et aux moeurs.    - omne supervacuum pleno de pectore manat, Hor. A. P. 337: tout le superflu s'échappe entièrement de l'esprit. - tr. - [st1]4 [-] faire couler, distiller, verser.    - manare poetica mella, Hor. Ep. 1, 19, 44: distiller le miel de la poésie (être poète).    - lacrimas marmora manant, Ov. M. 6.312: le marbre verse des larmes.

I. * II.

I dē-fōrmo, āvī, ātum, āre [ forma ] II dēfōrmo, āvī, ātum, āre

I īvī, ītum, īre II polio, ōnis m.

Alexander, drī, m. (Ἀλέξανδρος), im Altertum häufig vorkommender Männername, unter dem am bekanntesten sind: I) Paris, Sohn des Priamus, der den Namen Alexander (Ἀλέξανδρος = Männer beschützend, v. ἀνήρ u. ἀλέξομαι) später erhielt, weil er die Räuber vertrieb u. die Hirten beschützte (vgl. Varr. LL. 7, 82), Enn. tr. 74. Cornif. rhet. 4, 41. Cic. fat. 34: dah. A. Paris, Plin. 34, 77. – II) Alexander von Pherä (dh. Pheraeus), durch seine Grausamkeit berüchtigter Tyrann in Thessalien (reg. v. 370–357 v. Chr.), der durch seine Gemahlin Thebe u. deren Brüder ermordet wurde, Cic. de off. 2, 25. Nep. Pelop. 5, 1 sqq. – III) Alexander I., Sohn des Molosserfürsten Neoptolemus, Bruder der Olympias u. so Oheim Alex. des Gr., gelangte durch Hilfe Philipps, an dessen Hofe er erzogen worden war, zur Herrschaft über die Molosser in Epirus (332 v. Chr.; dah. Molossus gen.), kam durch Verrat um (326 v. Chr.), Iustin. 8, 6; 9, 6 sq.; 12, 2. Liv. 8, 3 u. 1724. – IV) Alexander der Große, Sohn Philipps von der Olympias, geb. 356, gest. 323 v. Chr., reg. seit 336 v. Chr., führte, nachdem er seine abtrünnigen Nachbarn gezüchtigt hatte, den schon von seinem Vater vorbereiteten Heereszug gegen das schon verfallene Perserreich aus u. dehnte als glücklicher Eroberer das mazedonische Reich bis zum Indus aus; sein Leben von Curtius beschr.; vgl. Iustin. lib. 11 u. 12. Liv. 6, 16 sqq. Droysen, Gesch. Alexanders des Gr., 5. Aufl. Gotha 1898. – V) Cornelius Alexander, s. polyhistōr. – / Form Alexandrus, Privil. vet. im Corp. inscr. Lat. 3. p. 848. col. 5. lin. 25: Schreibung Alexanter auf ältern Monumenten zu Rom nach Quint. 1, 4, 16; ebenso Alixenter, Corp. inscr. Lat. 1, 1501 (vgl. Ritschl opusc. 2, 496 sq.) u. Akk. Alixentrom, Corp. inscr. Lat. 14, 4099.

Davon abgeleitet: A) Alexandrīa od. -ēa, ae, f. (Ἀλεξάνδρεια; über die im klass. Latein wahrsch. gew. Form -ea s. Madvig Cic. de fin. 5, 54. Drak. Liv. 31, 43, 5; vgl. Prisc. 2, 47), Name vieler von Alexander dem Gr. auf seinen Zügen gegründeter Städte (dah. Plur. cognominibus Alexandriis, Auct. itin. Alex. 36), von denen die bekanntesten sind: 1) Alexandria in Ägypten, auch mit dem Bein. Magna, im Westen der kanopischen Nilmündung (332 v. Chr.) erbaut, unter den Ptolemäern Hauptstadt des Reichs u. Residenz prachtliebender u. kunstsinniger Könige, Hauptsitz der von diesen Fürsten ungemein begünstigten Wissenschaften, unter den Römern Mittelpunkt des Welthandels, wegen des dort herrschenden Luxus u. des damit verbundenen ausschweifenden Lebens der Bewohner berüchtigt, noch j. Alexandria u. türk. Skanderia, Plin. 5, 62. Curt. 4, 8 (33), 1 sqq. Amm. 22, 16, 7 sqq. Cic. de fin. 5, 54. Hor. carm. 4, 14, 35. – 2) Alexandria Troas, auch bl. Troas gen., Stadt südl. von Troja an der Küste, zur Zeit der Römer von diesen wegen ihrer Anhänglichkeit sehr begünstigt u. gehoben, Liv. 35, 42; 37, 35. Cic. Acad. 2, 11, aber später bl. Kolonie, Plin. 5, 124. – 3) Alexandria in Syrien, u. zwar in Pieria zwischen Issus u. Antiochien, j. Alexandrette od. Scanderone, Plin. 5, 91. – 4) Alexandria Ariôn, d.h. im Lande der Arier, am Flusse Arius (Ferah) u. an der großen Karawanenstraße nach Indien, j. Herat, Plin. 6, 61 u. 6, 93. Amm. 23, 6, 69. – 5) Alexandria in Arachosia, auch Alexandropolis gen., j. Kandahar, Amm. 23, 6, 72. – 6) Alexandria ad Caucasum, am Kreuzwege zwischen Ariana, Indien u. Baktrien, am Westabhang des Schneegebirges, das gegen NW. die indischen Länder begrenzt, in der Nähe des heutigen »Kabul«, Plin., 46. Curt. 7, 3 (14), 23. – 7) Stadt an der Vereinigung des Acesines und Indus, an der Stelle des heutigen Mittun Kot, Curt. 9, 8 (31), 8. – 8) Alexandria ultima (Ἀλ. εσχάτη), Alexanders des Großen äußerste Gründung am Jaxartes in Sogdiana, wahrsch. das jetzige Khodjend, Plin. 6, 49. Curt. 7, 6 (28), 25. Amm. 23, 6, 59.

B) Alexandrēus, a, um (Ἀλεξάνδρειος), alexandrinisch, von Alexandrien, qui istas Alexandreas litteras attulit, Cic. ad Att. 11, 6, 7 ed. Hofm. (mit cod. M.), wo Baiter u.C.F.W. Müller (mit Boot) qui istas Alexandreā (von Alexandrien) litteras attulit.

C) Alexandriānus, a, um, alexandrinisch, Alexanders, purpura, Lampr. Alex. Sev. 40, 6: ficus, ibid. 60, 5: sodales, ibid. 63, 4.

D) Alexandrīnus, a, um, 1) alexandrinisch = Alexanders, a) Alexanders d. Gr., historia, Treb. Poll. XXX tyr. 30, 22. – b) des Alexander Severus. opus. Lamor. Alex. Sev. 25, 7: basilica, ibid. 26, 7: sagittarii, dem Alexander ergeben, ibid. 32, 3. – 2) alexandrinisch = von Alerandrien, a) in Ägypten, rex, König von Ägypten (Ptolemäus Auletes), Cic.: vita et licentia, ausschweifendes Leben, wie es in Alexandrien herrschte, Caes.: panis, Plin.: pueri, Petr., od. deliciae, Quint., alex. (od. ägypt., also Mohren-) Sklaven, ein Luxusartikel der Römer: navis, ein Schiff der von Augustus errichteten ägypt. Handelsflotte, Suet. u. Sen.: bellum, Cäsars Kr. in Ägypten nach der pharsal. Schlacht, Cic.: marmora, Sen. – subst., der Alexandriner, Alexandrinus quidam u. idem Alexandrinus, Augustin. de civ. dei 22, 8, 3: gew. Plur., Alexandrīnī, ōrum, m., die Einw. von Alexandria, die Alexandriner, Cic. u.a. – b) von Alex. Troas (oben no. A, 2), laurus, Plin.

E) Alexandrus, a, um, alexandrisch, Ven. Fort. app. 1, 98.

barbulus, ī, m. (Demin. v. barbus) = φάγρος ἰχθύς, ein in Istrien marmora, in Venetien dentale gen. Fisch (Gadus barbatus, L.), Gloss. II, 28, 21.

Bisanthē u. Bizanthē, ēs, f. (Βισάνθη), thrazische Stadt an der Propontis (Mare di Marmora), Kolonie der Samier, wichtiges Bollwerk für Byzantium, j. Rodosto, türkisch Rodostschig, Bis. bei Plin. 4, 43: Biz. bei Nep. Alc. 7, 4 N. u. H.